Qu’est-ce que la Pride peut nous apprendre sur les règles ? par le collectif Réglez-moi ça ! | La Pige du Halo Magazine
Qu’est-ce que la Pride a à nous apprendre sur notre rapport avec les règles ? La Pride est aujourd’hui connueLire la suite
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Prix de la Capitale verte de l’Europe en 2014 et successeur de Nantes, Copenhague est souvent dépeinte comme un modèleLire la suite
Alors taxé de “raciste anti-blanc” par Pierre Ménès, la Ligue Internationale Contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA) ou encore l’hebdomadaire conservateur Valeurs Actuelles suite à ses déclarations dans le magazine italien Corriere dello Sport en septembre 2019, Lilian Thuram décide de camper sur ses positions dans l’émission Quotidien. « Est-ce qu’il y a une idéologie qui place les personnes blanches tout en bas de l’échelle ? Est-ce qu’il y a eu déjà des systèmes politiques où les personnes blanches sont ségrégées ? […] Et là on peut arriver à la conclusion qu’il n’y a pas de racisme anti-blanc ! »
Tout part d’un collectif, d’une initiative, d’un nouveau mot : Kourtrajmé. Une bande de potes dans les années 90 qui, fatigués de voir les mêmes sujets traités dans le cinéma français avec, les mêmes protagonistes, les mêmes sphères et les mêmes trames, choisissent de prendre leur caméra et de filmer des situations loufoques, des lieux, des ambiances ou alors de s’approprier des genres émergeant de l’époque, comme le court métrage ou le clip.
Au tournant du premier anniversaire du mouvement social des Gilets Jaunes, lasituation sociale du pays ne s’améliore pas. Un jeune étudiant s’est immolé par le feupour protester contre la précarité chez les étudiants, le mois dernier. Mais, au grédesmugissements et des mutilés, l’État répond par la mutilation de ses détracteurs et legouvernement regarde en chien de faïence le feu se consumer sous ses yeux.
Le Halo TV a rencontré l’économiste Thomas Porcher au Village du Livre de La Fête de l’Humanité. Nous sommes revenus sur les divergences internes au mouvement politique Place publique dont il est le co-fondateur, ainsi que sur les urgences démocratique et écologique. Pour lui, il faut « sortir du capitalisme libéral ».
L’équipe du festival La Bonne Aventure reprend du service pour une troisième édition.
Le mardi 2 avril 2019, à Paris, le collectif « morts de la rue » rendait hommage aux 566 personnes (nombre bien loin de la réalité comme le rappelle le collectif) décédées sur le trottoir, sur les voies publiques, sur un banc, dans les rues de France en 2018. Autour du kiosque de Jardin Villemin, des plantes mises en pot donnent désormais une deuxième vie à ces mis au ban de la société. Est-ce à dire que notre tolérance envers les SDF sur une place publique ne se réveille qu’à leur mort ?
Selon les résultats issus du baromètre de la confiance politique réalisé par le CEVIPOF pour 2019, 91 % des Français n’ont pas confiance dans les partis politiques. De fait, le parti est aujourd’hui synonyme de clan formé de professionnels de la politique qui s’accrochent au pouvoir tout en menant une lutte nauséabonde.
« Quand j’entends le mot culture, je sors mon revolver. » On doit cette phrase à Hanns Johst, dramaturge allemand proche du parti nazi – souvent attribuée, à tort, au dirigeant Joseph Goebbels. Tandis qu’Emmanuel Macron s’évertue à défendre la suppression de l’impôt sur la fortune (ISF) pour préserver l’hexagone de la fuite des fortunes françaises, ici, quand la culture française prend feu, nos millionnaires sortent leur portefeuille.